Les bienfaits du KOBIDO

Le soin Kobido s’effectue par des techniques de gestuelles sophistiquées, à base de percussions et de vibrations. Le soin agit pleinement et naturellement sur la structure du visage et sur tous les plans : circulatoire, lymphatique, musculaire et sur la peau.

Cette méthode de massage active la reproduction cellulaire et boost la production de collagène et d’élastique, ce qui en fait un soin aux résultats visibles immédiatement. Eclat du teint, ouverture des traits, relaxation des tissus, rides atténuées….

Intégré dans son hygiène beauté, le soin Kobido est un véritable soin naturel et préventif du vieillissement du visage.

Entretenu régulièrement, sous forme de cure, il a une action, drainante, stimulante et galbante.

C’est une alternative pour retarder l’intervention éventuelle à la Médecine esthétique.

 

L’art du massage KOBIDO

Le Kobido est un art très ancien dont la technique originale demeure inchangée. Il demande des années de pratique pour être maîtrisé.

On compte 48 gestes techniques permettant plusieurs variantes, effectués selon l’endroit du visage où la gestuelle est appliquée.

Cet art peut se prêter également à des soins pour des mains et des pieds.

Il a évolué à travers les âges, tout en conservant une identité fidèle à sa culture asiatique. La méthode contemporaine selon Maître Takumi Finch, reste ouverte aux innovations pour le faire évoluer, et porte autant d’attention sur les plans énergétique, spirituel qu’à l’esthétisme et la beauté.

L'art ancestral du Kobido appliqué au visage, aux mains et aux pieds

 

Les origines du Kobido sont Indiennes, Népalaises et Tibetaines

L’origine du KOBIDO

L’histoire du Amma remonte à plus de 4 000 ans et prend sa source entre le Nord de l’Inde, le Népal et le Tibet… La Chine a transmis au Japon cette technique en l’an 562, qui révolutionne le massage et qui donne lieu entre Maitres à des compétitions.

Cet art se perpétue et se transmet de génération en génération. Aujourd’hui, le Maître Shogo Mochizuki représente la 26ème génération, en tant que Maître formateur, héritier de la Maison du Kobido.

 

Histoire du massage en Asie et au Japon

Il y a 4000 ans : La Médecine traditionnelle Chinoise

Les anciens écrits Japonais datent l’existence de la première forme de massage en Asie de l’Est, appelé AMNA à 4000 ans dans les régions du Nord de l’Inde du Népal et du Tibet.

L’Amna se traduit par « appuyer-frotter » ; il aurait été la seule forme de massage en Asie de l’Est avant son entrée en Chine Antique sous le règne de l’Empereur jaune. Il aurait été documenté et repertorié dans le Huangdi Neijing, classique de médecine interne de l’Empereur jaune ; répertoire médicale qui donna naissance, plus tard, aux principes de la médecine chinoise.

Par la suite les Chinois développèrent le massage Tui na, l’une des 4 disciplines constituant la pratique de la médecine traditionnelle chinoise, avec l’acupuncture, la pharmacopée des plantes et le Gi CONG.

Il y a 300 ans : L’Amna au Japon

Il fit son entrée en 562 après J-C que le gouvernement Japonais en établit les règlementations, la déontologie et une méthode d’enseignement afin que les praticiens puissent recevoir une autorisation de pratiquer. Cela fait environ 1000 ans, que la médecine chinoise fut introduite au Japon. A cette époque la méthode de l’Amna était bien connue dans le milieu médical et était considéré comme la plus sure et la plus simple pour traiter le corps humain. Durant la période EDO*, il y a environ 300 ans, on a demandé aux Meédecins Japonais d’étudier l’Amna dans le but de comprendre et de se familiariser avec la structure du corps humain et du fonctionnement des méridiens.

EDO* L’époque d’Edo (1603-1868) correspond à une période où le pays se referme, coupant tout commerce avec l’extérieur

XXe siècle : Amna, Shiatsu et massage Occidental :

Les différences entre le massage Japonais Amna, le massage Shiatsu et Occidental résident dans la demande des différentes sociétés qui les ont fait se développer.

L’Amna et le massage Européen stimulent directement la circulation sanguine en insistant sur le déblocage de la stagnation du sang au niveau de la peau et des muscles et le relâchement des tensions et raideurs résultant de la congestion. Le shiatsu, de son côté insiste sur la correction et le maintien en état de la structure osseuse, des articulations, des tendons, des muscles et des méridiens dont le mauvais fonctionnement perturbe l’énergie du corps et le système nerveux autonome* provoquant la maladie.

Système nerveux autonome* : partie du système nerveux qui est liée aux organes internes, y compris les vaisseaux sanguins, l’estomac, les intestins, le foie, les reins, la vessie, les organes génitaux, les poumons, les pupilles, le cœur, ainsi que les glandes sudoripares, salivaires.